
Série Grands concerts BMO
MUSIQUE SLAVE : DVORAK
Vendredi 28 septembre 2018
20 h | salle Maurice O’Bready
Billets en lignePremière partie :
M. Goulet : à venir
Marcus Paus : Concerto pour timbales et orchestre
François Aubin, timbales
Deuxième partie :
A. Dvorak : Symphonie no 8 en sol majeur, op. 88
Présentateur du cocktail
Chef d’orchestre : Stéphane Laforest
CONSULTER LES NOTES DE PROGRAMMEArtistes invités
Stéphane Tétreault
VIOLONCELLISTE
Véritable prodige, Stéphane Tétreault s’est fait connaître sur la scène internationale en tant que récipiendaire du violoncelle de Bernard Greenhouse, le Stradivarius « Comtesse de Stainlein, Ex-Paganini » de 1707 qui lui est généreusement prêté par Madame Jacqueline Desmarais. De nombreux critiques musicaux n’ont tari d’éloges dithyrambiques à son sujet. « Le jeu solo est étonnamment mature, non seulement dans la technique, mais aussi la chaleur, l’éclat et la subtilité des couleurs et de l’inflexion. » (Geoffrey Norris, Gramophone). « Stéphane Tétreault est non seulement un technicien parfaitement accompli, mais encore, et surtout, un interprète de génie. » (Claude Gingras, La Presse) En savoir plus »»
Kerson Leong
VIOLONISTE
Acclamé par le milieu musical et le public pour son étonnante sonorité, sa présence scénique et sa musicalité instinctive, le violoniste canadien Kerson Leong s’est rapidement affirmé comme un des violonistes les plus prometteurs de sa génération, en remportant le Premier Prix junior du Concours Menuhin 2010 à l’âge de 13 ans. Lauréat de nombreux concours, il a reçu le Prix de la Fondation Sylva Gelber (2016, 2015) et le Prix Jeune Soliste 2015 des Radios Francophones. Il a aussi été distingué par la Fondation Lin Yao Ji en Chine. Il a été nommé Révélation Radio-Canada 2014-2015 de la musique classique. En savoir plus »»
Conférence préconcert
25 février 2018, 14 h | SALON ORFORD DU CENTRE CULTUREL
Concerto 101
Le compositeur allemand Johannes Brahms a écrit quatre symphonies et quatre concertos. Dans son Concerto pour violon, violoncelle et orchestre en la mineur, op. 102 (1887), Brahms a intégré plusieurs éléments traditionnellement associés au concerto, mais en s’accordant quelques libertés. Or, devrait-on qualifier cette œuvre de traditionnaliste ou de progressiste ? De plus, peut-on considérer cette pièce comme un concerto grosso, un concerto de solistes, un double concerto et/ou une symphonie concertante ? Venez le découvrir.
Présentateur du concert
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