Chronique d’Alezya Lefebvre | Vienne : la 5e de Mahler

L’Orchestre symphonique de Sherbrooke est un ensemble de plusieurs instruments : le violon, l’alto, le violoncelle, la contrebasse, la flûte, le hautbois, la clarinette, le basson, le cor français, le trombone, le trombone base, le tuba, les timbales, les percussions et la harpe.

L’invité du jour était le trompettiste Robin Doyon. À l’âge de 5 ans, Robin jouait du piano.  Ensuite, quand il est entré au secondaire, il devait choisir un instrument. Il voulait jouer du saxophone parce que sa mère en faisait. Un seul allait être choisi pour cet instrument et, malheureusement, il n’a pas été choisi. Donc, il a fallu qu’il en choisisse un autre. Son professeur lui a proposé le cor français, car personne ne voulait en jouer, mais lui non plus ne voulait pas. Alors, il a pris la trompette sans aucune raison et le voilà maintenant en train de faire de grands concerts classiques de trompette.

Le samedi 20 avril 2019, en soirée, 1300 personnes (y compris moi) ont eu droit au spectacle le plus impressionnant depuis 80 ans!!! C’était le plus impressionnant, car c’était la symphonie la plus difficile que l’OSS ait jouée. J’ai eu la chance de pouvoir aller porter des fleurs au soliste trompettiste Robin Doyon sur scène.

J’aurais pu rencontrer le chef d’orchestre Stéphane Laforest, mais il était tard (11 h du soir) et sa famille et ses amis lui avaient fait une surprise pour ses 20 ans de chef d’orchestre, alors je ne voulais pas le déranger. En plus avant le spectacle, il y a eu une vidéo de plusieurs personnes qu’il aime, qui lui disaient bravo. Puis, il a même reçu un chandail et un bâton de Guy Lafleur, un joueur qu’il aime.

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