Harmonium symphonique

Hors-série
La pure symphonie

Jeudi 21 décembre 2023
20 h 00 salle Maurice-O’ Bready  * COMPLET *

Dina Gilbert, cheffe
Luce Dufault et Kim Richardson, voix solistes
Sylvain Quesnel, guitare
Pr Robert Ingari, direction musicale du choeur
Orchestre symphonique de Sherbrooke
Ensemble vocal de l’École de Musique de l’Université de Sherbrooke

Vivez l’expérience Histoires sans paroles – Harmonium symphonique avec plus de 60 instrumentistes et plus de 70 choristes ! La salle sera complètement transportée par la puissance musicale et vocale qui émanera de la scène en format acoustique, sans amplification. Intitulée La pure symphonie, cette version met en lumière la beauté de la musique créée par le compositeur Simon Leclerc, s’inspirant de l’album Histoires sans paroles — Harmonium symphonique. Ce spectacle sera d’ailleurs ponctué de deux performances vocales interprétées par deux grandes chanteuses adorées du public, Luce Dufault et Kim Richardson

Cette production est une coréalisation de Serge Fiori et de Simon Leclerc, sous la direction artistique de Nicolas Lemieux.

 
Programme de soirée Orchestre Ensemble vocal

Ce spectacle ayant ravi les foules à Trois-Rivières, Montréal et Québec fait maintenant son arrivée à Sherbrooke. Ce sera d’ailleurs la dernière chance de voir cette œuvre acclamée par la critique et le public dans son expression la plus pure dans la Belle Province.

Billet*

Régulier: 139 $
Forfait VIP: 192$

*Ajout de 3$ pour les achats par téléphone (819 820-1000) et 5$ pour les achats en ligne

FORFAIT VIP*

Pour les abonnées du Centre culturel et les membres VIP de l’OSS, vous avez accès à un forfait spécial en prévente. Celui-ci vous sera proposé lors de l’achat en ligne et comprend : 

  • Un coquetel de bienvenue dès 18h30
  • Une rencontre avec l’équipe artistique du spectacle
  • Un ensemble cadeau personnalisé à l’effigie d’Harmonium

*Disponible en quantité limitée

Producteurs du concert

Logo Centre Culturel Université de Sherbrooke

 

Dina Gilbert

Cheffe d’orchestre

Reconnue pour son énergie, sa précision et sa présence sur le podium, Dina Gilbert est régulièrement invitée à diriger au Canada et à l’étranger. Originaire de la Beauce, elle est directrice musicale du Kamloops Symphony Orchestra (Colombie-Britannique) où elle fait sa marque en dirigeant avec passion le grand répertoire symphonique tout en accordant une place importante à la création musicale.

Au cours de la saison 2022-2023, en tant que cheffe attitrée de l’Orchestre des Grands Ballets Canadiens de Montréal, elle a dirigé la création de ballets sur le Concerto pour violon de Stravinski, la Suite-Carmen de Shchedrin et Cendrillon de Prokofiev en plus de diriger le Sacre du printemps de Stravinski. Dina a de plus fait ses débuts avec l’Orchestre du Centre national des Arts, l’Orchestre national des Pays de la Loire, ainsi qu’une tournée de cinq concerts avec l’Orchestre national de Metz en plus diriger à nouveau l’Orchestre symphonique de Montréal et l‘Orchestre symphonique de Québec.

Passionnée et avec une curiosité innée pour les genres musicaux non classiques, Dina Gilbert a dirigé l’Orchestre Philharmonique de Radio France et l’Orchestre national de Lyon lors de concerts Hip Hop Symphonique, partageant la scène avec de nombreux artistes renommés tels que I AM, MC Solaar, Youssoupha, Arsenik et Bigflo & Oli. Elle a de plus dirigé la musique du compositeur John Corigliano lors de la première mondiale de la présentation du film Le violon rouge, avec orchestre live au Festival de Lanaudière, de même que la première nord-américaine du film The Artist avec l’Orchestre symphonique de Montréal.

À titre de fondatrice et directrice artistique de l’Ensemble Arkea, un orchestre de chambre montréalais, elle a créée plus d’une trentaine d’oeuvres de jeunes compositeurs canadiens. Avec cet ensemble, elle a notamment dirigé la création de l’opéra de rue « Humanitudes » du compositeur Éric Champagne, un opéra de chambre à caractère social permettant l’intégration de personnes en situation d’itinérance.

Ayant à coeur de partager la musique auprès du jeune public, Dina a présenté son atelier ludique et participatif « Chef 101 » à des milliers d’enfants au Canada. Depuis l’automne 2022, on peut aussi l’entendre au micro de l’émission Il restera toujours la culture animée par Émilie Perreault.

Dina a dirigé de nombreux orchestres au Canada tels que l’Orchestre symphonique de Montréal, l‘Orchestre métropolitain, l’Orchestre symphonique de Québec, le Toronto Symphony Orchestra et le Hamilton Philharmonic Orchestra. Elle a aussi dirigé des orchestres aux États-Unis, en Colombie, en Espagne, en France, et le Sinfonia Varsovia lors de plusieurs concerts présentées au Japon.

De 2013 à 2016, Dina Gilbert a occupé le poste de chef assistante de l’Orchestre symphonique de Montréal et de Maestro Kent Nagano.  À ce titre, elle a dirigé de nombreux concerts et elle a assisté le directeur musical dans l’ensemble des répétitions, des concerts, des enregistrements et des tournées de l’orchestre, en plus d’assister de nombreux chefs invités tels que Zubin Mehta, Sir Roger Norrington, Lawrence Foster et Giancarlo Guerrero. 

Dina Gilbert détient un doctorat en direction d’orchestre de l’Université de Montréal où elle a étudié avec Jean-François Rivest et Paolo Bellomia. Elle s’est perfectionnée lors de classes de maître avec Neeme Järvi, Kenneth Kiesler, Pinchas Zukerman et les musiciens du Kritische Orchester à Berlin. Récipiendaire du Prix Opus « Découverte de l’année » en 2017, elle a aussi été nommée parmi les 50 personnalités créant l’extraordinaire au Québec en 2018 par le Magazine Urbania. Le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et la Fondation Père-Lindsay l’ont aussi soutenue au cours de sa carrière.

Dina Gilbert
Luce Dufault

Luce Dufault

Soliste

Native d’Orléans en Ontario, son parcours artistique, tracé sur deux continents, est parsemé d’expériences et de réussites. Tout commence à Aylmer, à l’âge de quinze ans, dans un centre commercial. Elle chantait le dos tourné au public! C’est avec Stable Mates, son premier groupe, qu’elle fait la tournée des sanctuaires du blues montréalais. Son répertoire rhythm’n blues collé à sa voix puissante lui permet déjà de gagner l’estime du public.

Novembre 1992, Luc Plamondon lui offre le rôle de la groupie dans La légende de Jimmy. C’est au printemps 1993 qu’elle enregistre Quand les hommes vivront d’amour dont tous les bénéfices iront au refuge des jeunes de Montréal. À l’automne, Luc Plamondon lui propose le rôle de Marie-Jeanne dans l’opéra rock Starmania, engagement qui se prolongera pendant deux ans avec, entre autres. un Félix, un Victoire de la musique et une fabuleuse occasion d’interpréter Le monde est stone devant 21 millions de téléspectateurs européens!

Lancé en mars 1996, son album éponyme lui vaut quatre nominations à l’ADISQ. Elle monte sur scène l’automne suivant pour y présenter son premier spectacle solo. Partout au Québec la même réaction, la voix chaude, puissante et exceptionnelle de Luce Dufault transcende tout.

C’est en 1997, forte de plusieurs « hits » radiophoniques, qu’elle gagne le Félix du « spectacle de l’année-interprète ». Son premier album atteint les 170 000 exemplaires vendus. En 1998, elle enregistre l’album Des milliards de choses. Certifié « OR », le spectacle impressionne et subjugue la critique.

Avril 2000, tout ce passe très bien pour Luce et elle se fait un cadeau : l’enregistrement d’un album live acoustique où elle reprend ses plus grands coups de cœur. C’est ainsi que les succès d’Etta James, Carole King ou Billie Holliday ont côtoyé La chanson des vieux amants de Jacques Brel. Intitulé Soir de première, l’album se retrouve dès sa sortie au premier rang des ventes au Québec. 

Au-delà des mots, son quatrième album est lancé en octobre, qui sera suivi d’une importante tournée de près de 100 spectacles à travers tout le Québec.

Bleu est lancé en mars 2004. Ce cinquième album est, une fois encore, magnifiquement accueilli, tant par le public que la critique. Une tournée de spectacles suit la sortie de l’album et Luce parcourt la province en faisant des heureux! Mars 2007, sortie du sixième album de Luce Dufault : demi-jour. Un album tout en douceur, très folk contemporain. 

Début 2010, l’interprète lance Luce, composé de douze relectures de chansons coup de coeur, en anglais. L’année suivante, son interprétation d’Émilie Bordeleau étonne et émerveille le Québec dans le théâtre musical Les Filles de Caleb. En 2014 elle lance un huitième album en carrière : Du temps pour moi. Mai 2015, sortie d’une compilation de ses 10 plus grands succès francophone. C’est sept ans après son dernier album studio que Luce sort son dixième album Dire combien je t’aime.

Kim Richardson

Kim Richardson

Soliste

Dès son jeune âge, Kim Richardson débute sa carrière comme actrice et danseuse dans les théâtres de la région de Toronto. À l’adolescence, elle se produit comme chanteuse dans les bars, avec la permission de sa mère, n’ayant pas encore l’âge légal pour y entrer. À 20 ans, en 1986, Kim remporte son premier prix Juno dans la catégorie Interprète le plus prometteur de l’année avec son single He’s My Lover, et l’année suivante en décroche un deuxième dans la catégorie Meilleur enregistrement R&B/Soul pour sa chanson Peek-A-Boo. Le tour du chapeau se complète en 1994, avec un Juno pour le Meilleur album Jazz contemporain, enregistré avec le groupe The Merlin Factor.

Au fil des années, Kim chante aux côtés de plusieurs artistes canadiens de renom comme Céline Dion, Corey Hart, Ginette Reno, Diane Dufresne, Lara Fabian Bruno Pelletier, Roch Voisine, Nanette Workman, Gino Vannelli, ainsi que d’étoiles internationales comme Barry White, Stevie Wonder, Robert Palmer, Murray Head ou encore Michel Fugain. Elle a même ​le privilège de chanter pour la reine Elizabeth II et pour nul autre que Nelson Mandela, lors d’un spectacle donné en son honneur en 1990 à Montréal.

La première émission télé qui nous la fait connaître, Beau et Chaud lui ouvre la route à plusieurs autres : Célébrations, Ti-Mé show, Pour le plaisir, Prière de ne pas envoyer de fleurs, la Fête nationale du Québec à Montréal ainsi que la Fête nationale du Canada, et d’autres. Plus récemment, on a pu la voir dans En direct de l’univers, Belle et Bum, Y’a du monde à messe et elle chante régulièrement l’hymne national pour les Canadiens de Montréal. 

En 2006, naît une belle histoire d’amitié musicale avec Grégory Charles, avec qui elle partage la scène comme soliste et choriste à l’émission La cours des grands, Le choc des générations ainsi que dans ses spectacles Music Man, Vintage (dont celui présenté à New York) et présentement Vintage 69 en tournée au Québec.

Très jeune Kim découvrit sa passion pour le théâtre et décrocha quelques rôles au sein diverses comédies musicales à Toronto. Cette passion la suivit jusqu’au Québec, sa terre d’accueil depuis 1988. Depuis, on a notamment pu la voir dans Ain’t Misbehavin, présenté au Centre Segal, ainsi que Hairspray dans le cadre du Festival Juste pour rire. Au cinéma, elle tient le rôle Selma dans le film Funkytown, paru en 2011, et on pourra la voir bientôt dans un nouveau film intitulé Hall, dont la sortie n’est pas encore connue.

La discographie de Kim Richardson à titre de choriste se chiffre à un impressionnant 500 albums! Étant très impliquée comme choriste auprès de plusieurs artiste depuis tant d’années, ce n’est qu’en 2006 que le public peut enfin apprécier son oeuvre de soliste avec un premier disque intitulé Kaléidoscope. En 2011, Kim nous offre Mes amours, un deuxième album entièrement en français avec une touche jazz. 

Encore à ce jour, Kim prête sa voix à plusieurs formations, évènements et spectacles. On peut d’ailleurs l’entendre au Dièse Onze tous les dimanches en formule jazz.

Extrait de l’enregistrement de l’album Harmonium symphonique avec Luce Dufault et l’OSM

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